Premier jour à Phnom Penh
Eclectisme dérangeant ...
Voilà les deux mots qui résument le mieux les premières impressions que l'on a en marchant dans cette ville. Ici tout n'est que mélanges extrêmes : mélanges d'odeurs, de bruits, de klaxons, de cris, d'incessants "touktouk Sir !?", de pauvreté, de Lexus, de Mercedes, de misère, d'estropiés, de douleurs, de rires, de mendicités, de jeunesse dorée et de vieux retraités européens en quête de jeunesse qui survit...
Cette ville est enivrante et dérangeante. Phom Penh c'est tout cela à la fois.
On y découvre qu'il est excessivement difficile de s'y promener à pieds lorsque l'on est un européen et qu'il faut insister toutes les 10 secondes pour refuser un touktouk, que le marché traditionnel côtoie l'ultra-moderne centre commercial sur 6 niveaux (lors de son ouverture il y a quelques mois, les cambodgiens avaient peur d'utiliser les escalators nous a-t-on raconté), et on réalise finalement que le pire ennemis des cambodgiens ce sont les cambodgiens eux mêmes !
On y fait également des rencontres improbables, comme Nai, ce garçon de 10 ans qui va à l'école le matin et vend des bouteilles d'eau devant le musée national l'après-midi, et qui parle un excellent anglais. Quand on vous dit les filles que c'est vraiment une chance extraordinaire d'aller à l'école ! Ici tous les enfants n'y vont pas, beaucoup vivent dans la rue, et la plupart de ceux qui ont la chance de s'y rendre travaillent pour aider leur famille à trouver de quoi manger.
Mais Phnom Penh c'est aussi le marché central et ses odeurs d'Asie, ses allées bondées de gens et de choses à vendre, ses grandes bâches de plastique tendues sur des bambous en guise de toit pour se protéger de la pluie. C'est encore des monuments magnifiques, des singes espiègles qui chipent et se carapatent en vitesse dans les arbres, ce joyeux bordel à chaque coin de rue où l'on risque 10 fois sa vie en se dépêchant de traverser sur le trottoir d'en face.
Phnom Penh c'est enfin les touktouk. On a-do-re les touktouk !!!
Voilà les deux mots qui résument le mieux les premières impressions que l'on a en marchant dans cette ville. Ici tout n'est que mélanges extrêmes : mélanges d'odeurs, de bruits, de klaxons, de cris, d'incessants "touktouk Sir !?", de pauvreté, de Lexus, de Mercedes, de misère, d'estropiés, de douleurs, de rires, de mendicités, de jeunesse dorée et de vieux retraités européens en quête de jeunesse qui survit...
Cette ville est enivrante et dérangeante. Phom Penh c'est tout cela à la fois.
On y découvre qu'il est excessivement difficile de s'y promener à pieds lorsque l'on est un européen et qu'il faut insister toutes les 10 secondes pour refuser un touktouk, que le marché traditionnel côtoie l'ultra-moderne centre commercial sur 6 niveaux (lors de son ouverture il y a quelques mois, les cambodgiens avaient peur d'utiliser les escalators nous a-t-on raconté), et on réalise finalement que le pire ennemis des cambodgiens ce sont les cambodgiens eux mêmes !
On y fait également des rencontres improbables, comme Nai, ce garçon de 10 ans qui va à l'école le matin et vend des bouteilles d'eau devant le musée national l'après-midi, et qui parle un excellent anglais. Quand on vous dit les filles que c'est vraiment une chance extraordinaire d'aller à l'école ! Ici tous les enfants n'y vont pas, beaucoup vivent dans la rue, et la plupart de ceux qui ont la chance de s'y rendre travaillent pour aider leur famille à trouver de quoi manger.
Mais Phnom Penh c'est aussi le marché central et ses odeurs d'Asie, ses allées bondées de gens et de choses à vendre, ses grandes bâches de plastique tendues sur des bambous en guise de toit pour se protéger de la pluie. C'est encore des monuments magnifiques, des singes espiègles qui chipent et se carapatent en vitesse dans les arbres, ce joyeux bordel à chaque coin de rue où l'on risque 10 fois sa vie en se dépêchant de traverser sur le trottoir d'en face.
Phnom Penh c'est enfin les touktouk. On a-do-re les touktouk !!!